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LIVRE D’OR

Mademoiselle,
Il y a quelques semaines déjà, j'ai eu le bonheur de vous entendre dans le répertoire que vous consacrez à Pierre Louki. Je tenais à vous remercier pour la belle soirée que j'ai passée à vous écouter. Vous apportez beaucoup de tendresse et d'émotion aux chansons de Pierre (j'ai eu la chance de le connaître un peu) et la comédienne que vous êtes a su transposer parfaitement bien quelques "goujateries" typiques en pirouettes humoristiques et pleines de charme. Je connaissais la plupart des chansons, mais vous me les avez fait re-visiter sans nostalgie, et au contraire : je les découvrais. De plus vous êtes remarquablement bien accompagnée par quelqu'un qui est aussi un grand artiste. Je n'ai pas osé venir vous féliciter à la fin - vous étiez si bien entourée, mais avec un peu de retard, permettez moi de vous donner mon cœur et mon admiration.    Jean Musy

Merci de nous permettre de retrouver votre façon toujours très personnelle de visiter des textes et mélodies, ce n’est que du bonheur que je déguste.    P.R.

Merci pour ta confiance, merci pour ta voix, merci pour tout ».    F.D. 

Il est précieux ce disque. C’est un petit bijou.
Je suis retournée une heure chez moi pour l’écouter. Votre musique ne me quitte pas.
Le disque tourne. Je me suis même offert Le dernier tango à Paris à cause de vous !!   F.

Votre disque Paris Cinéma est une merveille et vous êtes des démons !   D.

Je viens de découvrir et d’écouter 52 minutes de Paris Cinéma. Superbe. Je vais me mettre Paris Cinéma en fond d’’écran...   P.

Bien reçu le cd. À travers ces mélodies je revois le Paris d'une époque que j'ai bien connue. Surtout celle des dancings parisiens que Daniel Colin a fréquentés.  Je pense même avoir dansé au son de son accordéon. Je félicite les musiciens, le choix musical, la chanteuse…   R.

J'écoute le CD Paris-Cinéma : vivant, varié, harmonieux, classieux, nostalgique juste ce qu'il faut - comme une petite lévitation du cœur.  Musicalement, ben Dominique est un orfèvre. Ta voix, ton chant sont parfaits - Sur deux notes te va à ravir et Sans toi à merveille - tout le monde n'a pas cette souplesse de registre.  Et les textes du livret sont très bien... Bravo! à vous et vos talentueux amis.  L.

Cd bien reçus. Et même écouté ! Et alors là bravo. J’ai trouvé ta voix pleine, entière  (je mets de pauvres mots d’amateur non éclairé), et j’ai adoré le petit rire caché quand tu chantes « Moi, je joue contre joue ». Alors puisque c’est ainsi, renvoie-moi, s’il te plaît, deux autres cd. J’ai envie de partager ce disque avec d’autres.

Pierre Barouh nous a quittés mercredi 28 décembre 2016...

Je pense à Pierre. Je pense à sa famille. Je pense à la Vendée, à l’arbre planté à La Morvient. Je pense à l’Hôtel du Nord, je pense aux amis, je pense à ses chansons. Je pense à son scooter. Je pense à ses disques, aux images filmées. Je pense à la porte de sa maison toujours ouverte. Je pense aux concerts donnés, aux chansons partagées. Je pense au Japon, à l’histoire de l’ordinateur oublié sur un banc dans le parc de Shinjuku retrouvé le lendemain, mise à jour faite. Je pense au Kabaret de la dernière chance. Je pense au moulin, au perron de la maison et à la rivière. Je pense au poète. Je pense à son amour pour le Brésil et pour le Québec. Je pense à la Contrescarpe. Je pense à la Yourte du Boupère. Je pense à la bambouseraie de l’Estrapade. Je pense au festival Chantez Guinguettes, à la belle équipe du Studio de La Morvient. Je pense à Allain. Je pense au "Courage d’aimer". Je pense au Paon. Je pense à la gare de Nantes, je pense à l’amitié. Je pense à l’autre Pierre. Je pense au Passage Josset. Je pense à La Flocelière. Je pense à ses parties de Flipper. Je pense aux amis musiciens. Je pense à son goût du partage, à l’amitié. Je pense à ce qu’il m’a offert, à ce qu’il m’a appris, ce qu’il m’a transmis. Saravah Pierre.

Claire Elzière

Photo : Olivier Longuet

Claire Elzière, Pierre Barouh et Jean-Philippe Viret.

Paris, l’Européen, juin 2014.

Pierre Barouh, Dominique Cravic, Claire Elzière et Yvonnick Ageneau. Studio La Frette, décembre 2013.

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